Avocat au Barreau de Paris depuis 2010, Anne-Lise LERIOUX dispose d’une très grande compétence en droit médical et en responsabilité médicale, matière à laquelle elle consacre l’essentiel de son activité.

Après une première collaboration au sein d’un des cabinets historiques de défense des victimes d’attentats, un stage au sein de l’Ecole Nationale de la Magistrature, elle rejoint un cabinet spécialisé en Droit de la responsabilité médicale, travaillant pour la défense des médecins.

C’est en travaillant de l’autre côté de la barre qu’elle décide de revenir aux côtés de ceux qui souffrent. Pugnace et méthodique, Anne-Lise LERIOUX sait aborder chaque dossier de manière unique, humaine et précautionneuse.

En 2016, Me Anne-Lise LERIOUX a collaboré à la rédaction du Livre Blanc sur la prise en charge des victimes d’attentats rédigé par le Barreau de Paris.

« J’ai découvert le dommage corporel à l’université alors que je m’orientais initialement vers un cursus de droit social. J’ai alors finalement opté pour un troisième cycle droit de la santé - responsabilité médicale. Cette année universitaire n’a pas fait que confirmer ma passion pour cette matière qui était, à mon sens, la seule capable d’humaniser réellement le droit que l’on m’enseignait, et ce, d’autant plus, si je l’associais à l’avocature. J’ai alors obtenu mon CAPA puis prêté serment en 2010.

Débutant ma carrière comme collaboratrice libérale au sein d’un cabinet pratiquant principalement le droit pénal et la responsabilité médicale, j’y ai exercé pendant près de 2 ans. J’ai ensuite intégré un cabinet dont l’activité exclusive était la défense des professionnels de santé dans le domaine de la responsabilité médicale. J’y demeura 7 ans durant.

Au cours de ces nombreuses années passées à défendre les professionnels de santé à travers leur assureur de responsabilité civile professionnelle, j’ai pu constater que les victimes ne bénéficiaient pas d’une défense optimale, qu’elles étaient souvent seules et désorientées face à une défense organisée et spécialisée, face à un système complexe dont le fonctionnement leur échappait. 

J’ai alors décidé de mettre mes compétences acquises au cours de ces nombreuses années passées dans la défense au profit des victimes. En œuvrant aux côtés des victimes, ma vocation première prend désormais tout son sens.

Je suis alors ravie de faire désormais bénéficier aux victimes non seulement de ma technicité acquise au cours de ces 10 dernières années mais également de ma détermination. »